FACE À AMIENS : 

On a fait une bonne première mi-temps, concédant 2-3 situations sur la profondeur. Derrière, c’était une équipe solide, mais on s’est créé des situations et des possibilités. Ça s’est joué sur des détails.

Concernant le pénalty accordé à Amiens, si on siffle des pénaltys comme ça, j’arrête le football. Leandro met le bras, mais il ne touche personne. Le joueur se jette. Yann l’a arrêté, donc pas de polémique. Le but encaissé est dommageable.

LA COUPE DE FRANCE : 

Le stade de Grenoble est correct, mais le terrain pourrait être abîmé à cause des matchs prévus avant le nôtre. On espère qu’il sera de qualité. L’objectif est de se qualifier. Si on ne passe pas ce tour, aucune ambition n’est possible dans cette compétition. J’aime la Coupe de France : elle offre des moments uniques, mais belles rencontres ne rime pas avec matchs faciles. C’est une compétition où il faut être humble et solidaire. Un match peut basculer en 90 minutes, et j’ai déjà payé pour le savoir.

Un petit parcours apporterait du réconfort à tout le monde. Cela donnerait aussi du temps de jeu à ceux qui jouent moins ou aux jeunes. Il y aura des changements dans l’équipe, car nous devons faire tourner sur certains postes, tout en respectant les règles concernant les titulaires.

Dans le groupe, les relations sont professionnelles. Rien n’est offert, tout doit être mérité. Quand les résultats ne suivent pas, des tensions peuvent naître, mais notre place après 14 journées reflète notre performance. L’essentiel est que tout se fasse dans l’honnêteté et le respect.